Mon Paris...

P'tit bout d'amour,
Sirop d'ma rue,
Mon coeur est gourd,
Quand j'te vis plus.

samedi 18 mai 2013

Douceur du vent,


« Vents qui avez tant de fois caressé mon visage.... »
Arbrealettres.wordpress.com


Hep, Prairie...

Douceur du vent, 

Il était un baiser en quête d’une lèvre
Qui voulait déposer une passion orfèvre, 
Et devenir le seing d’une communion
À vivre et entonner comme une absolution. 


Il était une lèvre en quête d’un baiser, 
Qui offre chaque jour parfum du verbe aimer, 
En le partage ultime de la douce oraison
Qui fait  croiser les coeurs en suave abandon.


Mais nul ne trouva l’autre et le vent transporta 
D’un nuage à un autre longtemps la douce aura.
Je vous sais lors très triste mais ce cadeau perdu
Ne le fut pourtant point car nul n’est superflu.


Il suffit de lever son coeur droit au ciel
Pour entrevoir des sens ce baiser arc en ciel.
Et vous le pouvez prendre, il y fut déposé, 
Pour Vous, Etre de bien, qui  cultivez l’aimé. 


Vole, petit baiser,
Jusque le partager.


liedich le huitième de mars 2013, ev

mardi 7 mai 2013

Amour vieux François,





Voilà, je vous ai écrit un poème en vieux français mais comme ce n'est pas toujours évident à comprendre, je vous en propose une traduction avec nos mots actuels.

Pour l'avoir écrit, je trouve le premier dès plus agréable à lire voire même à chanter accompagné par quelque instrument de l'époque.

Je vous souhaite un bon moment.



Mise en abandon cointelet, 
Déclaration d’adonc,
au fignolet...



Allouvi est mon être de Vous Oh belle Garce,

Qui fier afroquement me serait belle farce, 

Moi qui ne suis qu’hisdos, corps heingre dessiné,   

Mais dont le coeur est pur, mon amour accordé. 

Ne m’aculez donc point et vivez du fleror, 

Qui fera vermeiller votre doux coeur trésor,  

Et venez à créante de ma foleté vraie, 

Qui vous aombrera de mes baisers en rai, 

Enchérissez, Ô Baiselete, 

Avolentez, Ô Bachelete. 


Liedich le vingtième de février 2013, ev
Traduction métaphorique de mon écrit, personnelle mais respectueuse...


Déclaration courtoise d’antan,  
Ballade élégante et gracieuse,



Affamé est mon corps, de Vous, Oh Belle Mie, 

Dont douce compagnie me serait ciel de vie ; 

Moi au visage hideux, maigre et si décharné,

Mais dont la dévotion serait trésor dédié. 

Ne me repoussez point et vivez du parfum, 

Qui fera rougissant ciel d’ amour en or. 

Acceptez la faveur de ses mille et un traits, 

Arabesques baisers vous sertissant  d’un rai.

Chérissez-moi, Ô ma Jeunette,  

Ô consentez, ma Pucelette. 


liedich le vingtième de février 2013, ev